En apprendre plus sur cette leçon
Apprenez-en plus sur certains des comportements sains que vous pouvez adopter pour réduire votre risque d’être atteint de démence.
Testez vos connaissances sur les facteurs de risque de démence avec ce quiz.
La promotion de la santé du cerveau est importante, car notre cerveau, qui est le centre de commande de notre corps, joue un rôle essentiel dans notre bien-être général. Le cerveau commande tout : nos pensées, nos émotions et notre comportement en passant par nos mouvements, nos sens et nos fonctions corporelles. Maintenir le cerveau en bonne santé peut prévenir ou retarder l’apparition du déclin cognitif et des maladies du cerveau telles que la maladie d’Alzheimer.
De récentes recherches ont montré qu’il existe plusieurs mesures que vous pouvez prendre pour favoriser la santé du cerveau et retarder ou prévenir les troubles cognitifs.
Il n’est jamais trop tôt ou trop tard pour réduire votre risque de démence.
Lisez notre aperçu détaillé pour en savoir plus sur ce que vous pouvez faire pour promouvoir la santé de votre cerveau.
Téléchargez notre document récapitulatif.
Faits essentiels sur l’importance de promouvoir la santé du cerveau et les facteurs de risque modifiables.
L’activité physique, le comportement sédentaire et le sommeil sont importants pour votre bien-être et votre santé cérébrale.
L’excès de poids, le régime alimentaire et la nutrition peuvent tous avoir une incidence sur la fonction cérébrale et la santé du cerveau.
L’hypertension, l’hypercholestérolémie et le diabète peuvent tous avoir une incidence sur la santé de votre cerveau.
Ne fumez pas et évitez l’excès d’alcool.
Restez curieux, stimulez votre cerveau et maintenez vos activités sociales.
La perte auditive et de la vision affecte notre capacité à communiquer et à participer à des activités sociales, notre sécurité et notre indépendance à mesure que nous vieillissons, et peut également augmenter le risque de chutes.
Traumatisme cérébral, dépression, affections qui affectent votre taux d'oxygène, effets secondaires des médicaments et autres considérations.
Récapitulons.
La démence est une maladie cérébrale progressive qui affecte notre cognition.
La cognition est notre capacité à interagir avec le monde qui nous entoure. Cela comprend de nombreuses fonctions importantes, telles que :
Si certaines zones du cerveau sont endommagées, une ou plusieurs de ces fonctions cognitives peuvent être affaiblies. Lorsque la fonction cognitive d'une personne est affaiblie au point qu'elle altère sa capacité à fonctionner de manière autonome au quotidien, elle a développé une démence.
En vieillissant, certaines de nos capacités cognitives déclinent progressivement. Nous ne nous souvenons pas tout à fait autant lorsque nous apprenons de nouvelles informations. Nous ne traitons pas les informations aussi vite et apprendre des tâches plus compliquées devient plus difficile. Cependant, nous continuons à créer des souvenirs pour la vie, et même notre vocabulaire et notre sagesse peuvent continuer à s'améliorer plus tard dans la vie.
Les changements associés au vieillissement sont subtils. Par exemple, quelqu'un qui oublie ce qu'il a mangé au petit-déjeuner ne serait jamais associé au vieillissement normal. Un certain degré de déclin cognitif est normal et attendu à mesure que nous vieillissons. Cependant, les changements associés au vieillissement normal n'ont pas d'impact sur la capacité d'un individu à fonctionner de manière autonome.
Il n'y a pas de test unique pour déterminer si quelqu'un est atteint de démence. Les professionnels de la santé diagnostiquent les différents types de démence en fonction de :
De récentes recherches ont montré qu’il existe plusieurs mesures que vous pouvez prendre pour favoriser la santé du cerveau et retarder ou prévenir les troubles cognitifs.
Il n’est jamais trop tôt ou trop tard pour réduire votre risque de démence.
Lisez notre aperçu détaillé pour en savoir plus sur ce que vous pouvez faire pour promouvoir la santé de votre cerveau.
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« Cette étude m’a vraiment ouvert les yeux; elle m’a instruit et informé sur des concepts que je n’associais pas auparavant au risque de démence. » — Participant à l’étude âgé de 25 à 34 ans.
« Instructif, pas de surcharge d’information. Cette étude m’a aidé à réfléchir à mes propres actions et m’a permis de parler à mes parents plus âgés pour les encourager à être plus proactifs quant à leur santé. » — Participant à l’étude âgé de 35 à 44 ans.
« C’est un sujet d’actualité; je regarde autour de moi et je vois des amis et des membres de ma famille composer avec les effets de la démence. » — Participant à l’étude âgé de 65 à 74 ans.
« Chaque sujet était bien ciblé. La terminologie médicale était facile à comprendre et très instructive. » — Participant à l’étude âgé de 65 à 74 ans.
Neuropsychiatre, Professeur; Faculté des sciences de la santé, Université McMaster
Qui a rédigé et modifié cette page?
Cette page a été préparée par l’équipe de la Division of e-Learning Innovation (Division de l’innovation en apprentissage en ligne) et par le Dr Anthony J. Levinson, M.D., FRCPC (Psychiatrie). Le Dr Levinson est psychiatre et professeur au département de psychiatrie et des neurosciences du comportement de la Faculté des sciences de la santé de l’Université McMaster. Il est directeur de la Division de l’innovation en apprentissage en ligne, ainsi que président de la chaire de recherche en sciences de la santé John Evans à l’Université McMaster. Il exerce la psychiatrie de consultation-liaison, en se concentrant plus particulièrement sur la démence et la neuropsychiatrie. Il a aussi élaboré conjointement la ressource iGeriCare.ca des partenaires des soins aux personnes atteintes de démence et est l’un des coresponsables du Portail sur le vieillissement optimal de McMaster. Lui et son équipe se passionnent pour l’élaboration de contenu numérique de grande qualité pour aider les gens à mieux comprendre les questions de santé. Soit dit en passant, aucun contenu généré par ordinateur n’a été utilisé dans cette page. Pour être plus précis, un vrai humain (moi) a écrit et modifié cette page sans l’aide d’un système d’intelligence artificielle générateur comme ChatGPT, celui de Bing ou autre.
Y a-t-il des choses importantes ou des conflits d’intérêts à déclarer?
Le Dr Levinson reçoit du financement de l’Université McMaster dans le cadre de sa chaire de recherche. Il a également reçu plusieurs subventions pour ses travaux de la part d’organismes subventionnaires sans but lucratif. Il n’a aucun conflit d’intérêts en ce qui concerne l’industrie pharmaceutique et n’a pas utilisé de fonds provenant de l’industrie pour l’élaboration de ce site Web.
Quand le contenu de cette page a-t-il été passé en revue pour la dernière fois?
17 septembre 2024.
Quelles références et données probantes ont été utilisées pour créer ce contenu?
Le contenu a été rédigé et adapté en se fondant sur des sources crédibles, de grande qualité et non biaisées telles que MedlinePlus, les National Institutes for Mental Health, le Portail sur le vieillissement optimal de McMaster, l’American Psychiatric Association, la Cochrane Library, le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et d’autres. En outre, le contenu fondé sur des données probantes relatif à la réduction du risque de démence, en particulier, a été tiré des rapports de l’Organisation mondiale de la Santé et de la Lancet Commission (2020 et 2024). Veuillez consulter les références supplémentaires sur la page d'accueil de la leçon d'apprentissage en ligne.
Qui l’a financé?
L’élaboration initiale d’une partie de ce contenu a été financée par le Centre d’innovation canadien sur la santé du cerveau et le vieillissement, parrainé par Baycrest. Le financement subséquent a été assuré avec le soutien du Portail sur le vieillissement optimal de McMaster, de l’Initiative Labarge sur le vieillissement optimal, de la Faculté des sciences de la santé et du McMaster Institute for Research on Aging (MIRA) de l’Université McMaster et de l’Agence de la santé publique du Canada. Il n’y a aucun conflit d’intérêts à déclarer. Ce contenu n’a reçu aucun financement de l’industrie.